Joseph Kabila» blessé et acculé reprend la chasse à la famille d’Honoré Ngbanda

Depuis l’odieux assassinat de Floribert Chebeya suivi du cirque entretenu par « Joseph Kabila » notre imposteur national, autour des festivités du jubilé du 30 juin, l’APARECO avec beaucoup d’autres organisations politiques et civiles congolaises de la résistance à l’occupation de la RDC ont tenu la dragée haute tant à l’intérieur du pays qu’à l’extérieur des frontières nationales. Les nombreux documents et témoignages inédits ont été produits auprès des instances internationales démontrant l’implication flagrante de « Kabila » dans l’assassinat de Floribert Chebeya. Blessé et outré par la force et la diversité de cette mobilisation tous azimuts, « Kabila » a cru bon d’utiliser les armes des faibles et des lâches qui lui sont chères : s’attaquer aux innocents pour faire chanter le leader de l’APARECO et l’obliger à décrocher, à abandonner le combat ou du moins à desserrer l’étau qui se resserre irrémédiablement sur lui. Ainsi, il a ordonné dès la fin des festivités que ses services de l’ANR reprennent la chasse aux membres de la famille d’Honoré Ngbanda en guise de représailles.

pour l’enlever. Son crime : c’est d’être membre par alliance de la famille d’Honoré Ngbanda et surtout d’avoir été dans son entourage lorsqu’il était encore aux affaires avant l’occupation du pays ! Les 3 agents de l’ANR, sur base des renseignements recueillis, sont allés s’embusquer dans la commune de Bandalungwa, à côté de l’église fréquentée par leur cible. L’horaire de l’église affichait un culte chaque vendredi. L’occasion était belle pour capturer leur victime à l’entrée ou à la sortie du culte. Mais malheureusement pour eux ce jour là, le «lièvre» n’est pas tombé dans le piège : il n’est pas venu au culte. Rentrés bredouille de

leur mission, les 3 agents furent proprement savonnés par leur chef direct qui leur fixa l’ultimatum de se saisir de l’intéressé dans les 48 heures. Ainsi, dimanche 04 Juillet, les 3 sbires n’ont pas trouvé mieux que de profaner la maison de Dieu en s’infiltrant parmi les chrétiens venus au culte d’adoration le dimanche, pour s’assurer de la présence de Monsieur Faustin Lisembi qui officie au sein de cette église locale en tant que diacre. Vers la fin du culte, les agents ANR sont tombés comme des vautours sur leur victime pour l’enlever malgré les protestations des membres de l’église choqués et scandalisés. Au moment où nous couchons ces lignes, la malheureuse proie de « Kabila » est séquestrée et torturée dans les cachots des installations de l’ANR situées en face de la Primature, sans aucun respect de la procédure légale en la matière. Connaissant les méthodes de «Kabila», cet enlèvement et cette incarcération arbitraire contre toutes les normes de la loi vise à empoisonner la victime avant de la relâcher dans la nature pour aller mourir chez elle quelque temps après.