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SE BATTRE JUSQU'AU DERNIER SOUFFLE POUR LA LIBERATION DU KONGO
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29 décembre 2013

Témoignage : DU COUVENT AU SALUT DE DIEU par LUTALA K. FRANÇOISE

DU COUVENT AU SALUT DE DIEU
Témoignage de LUTALA K. FRANÇOISE
Bien-aimés dans le Seigneur Jésus-Christ et très chers lecteurs, que le nom de mon Sauveur résonne en
vous avec une grande intensité, du fait qu’Il vous accorde de lire ce document. S’Il a permis que vous
preniez connaissance du message contenu dans mon témoignage, c’est, je l’espère, pour votre édification.
Vous y trouverez le sujet de grandes exhortations.
Seul le Seigneur Jésus-Christ a le pouvoir de délier et de sauver ceux qui sont en captivité dans les chaînes
du diable. Car Il est le Tout-Puissant et Il est Amour. De même qu’Il m’a délivrée et guérie, moi qui était
profondément possédée, je suis certaine qu’Il délivrera et guérira toute personne possédée ou liée qui lira ce
livre avec un esprit ouvert. Alléluia!
En me donnant la vie, le Seigneur m’a demandé d’aller de par le monde témoigner de tout ce que j’ai vécu
dans les ténèbres, afin que ceux qui sont encore liés ou possédés soient libérés et se préparent à Sa
Venue.
Oui, le Seigneur revient bientôt. Il ne prendra que ceux qui ont Sa nature, c’est-à-dire Son Esprit, ceux qui
suivent Sa Parole et qui la mettent en pratique chaque jour. Ce grand événement doit bientôt se produire.
Maranatha!
Je réponds au nom de LUTALA KABE Françoise. Kabe signifie « moitié » dans ma langue natale, car je suis
en réalité jumelle. Je suis née en 1954 au Rwanda d’un père pasteur à l’Église du Christ et d’une mère
membre de la Légion de Marie. Je suis originaire de la région de Kivu, sous-région de Kindu, dans la Zone
de Shabunda.
L’histoire que vous allez lire est le récit des événements tragiques que j’ai vécus. Sans l’intervention de Dieu,
il y a longtemps que je serais morte. J’ai accepté de dévoiler au grand public ma vie la plus intime, pour
l’amour de mon Dieu et celui de mon prochain.
Que le nom de mon Sauveur soit encore une fois glorifié! Amen
Chapitre 1 : Sous l’emprise du fétichisme
Mes parents avaient souvent l’habitude de nous raconter les histoires de notre village. Ils ne cessaient
chaque fois de revenir sur les exploits d’une grand-mère sorcière, qui y vivait. Au lieu de me donner la chair
de poule, ces histoires me captivaient. J’allais même jusqu’à prendre des informations supplémentaires
auprès de mes amies sur les moeurs des sorciers.
Mes amies me confièrent ce qu’elles croyaient être vrai sur la vie de ces derniers: l’initiation d’un nouvel
adepte, le sacrifice des victimes, les repas succulents, etc… Tout cela n’était fondé que sur des racontars.
Mais, compte tenu de mon jeune âge et de ce que m’avaient déjà raconté mes parents, je n’arrêtais pas
d’avaler toutes ces histoires. A force de trop y penser, j’en vins même à désirer devenir à mon tour une
sorcière. Je me voyais déjà prendre place à bord de leur superbe « Jet »nocturne, manger leurs mets
succulents, participer aux diverses cérémonies, etc…
Mais l’occasion ne me fut pas donnée de réaliser mon rêve, puisque, dans mon entourage, il n’y avait
personne qui puisse être soupçonné de détenir un tel pouvoir.
Ma joie fut grande lorsque, pendant les grandes vacances de 1961, mon père décida que nous irions passer
nos congés au village, afin de mieux connaître les autres membres de la famille. C’était pour moi une
occasion de rencontrer ma grand-mère, et je ne voulais pas la manquer.
2
Le premier contact
Une fois à Shabunda, mon premier souci fut de rencontrer ma grand-mère, malgré l’interdiction de mes
parents. Cette tante de mon père était crainte et respectée dans tout le village à cause de ses pouvoirs
occultes. Un jour, trompant la vigilance de mes parents, j’allai la trouver et je lui dis:
- Grand-mère, pourquoi mes parents ne t’aiment-ils pas? Pourquoi te critiquent-ils tant? Que leur as-tu fait
pour qu’ils agissent ainsi envers toi?
- Je sais qu’ils ne m’aiment pas parce que je suis une sorcière. Loin de m’effrayer, cette affirmation me
procura une joie intense. « Enfin, me dis-je, je suis en présence d’une vraie sorcière! »
- Tu es sorcière? Alors montre-moi ton avion.
- Comment? dit-elle, comme si elle ne m’avait pas comprise.
- Ensorcelle-moi!
- Je ne peux, pas t’ensorceler. Il y a déjà une autre personne dans la famille à qui je dois léguer mes
pouvoirs.
- Ensorcelle-moi, au moins pour que je puisse voir les avions!
- Tu ne sais pas de quoi tu parles! Sais-tu que ces avions dont tu parles ne volent que la nuit? Les sorciers
ne passent pas leur temps à s’amuser, contrairement à ce que pensent la plupart des gens, ils sont
contraints de faire ce qu’ils font, de peur de recevoir des châtiments sévères, qui peuvent aller jusqu’à la
mort. Et puis, s’ils le faisaient par plaisir; pourquoi certains d’entre eux somnolent-ils tant pendant la journée?
Bien que vraies, ces paroles n’altérèrent en rien mon désir de devenir sorcière. D’ailleurs, le refus de ma
grand-mère éveilla ma méfiance et me rappela ce que m’avait dit l’une de mes amies. Elle m’avait mise en
garde, en me disant que les sorciers pouvaient être jaloux de voir certains pouvoirs transmis à quelqu’un. « Ils
peuvent aller jusqu’à décourager un nouvel adepte avant de l’ensorceler. » Pour tenter de briser la résistance
de ma grand-mère, je me mis à pleurer.
Agacée et exaspérée par mon vacarme, elle changea de ton et, me prenant dans ses bras comme si elle
s’apitoyait sur moi, elle me dit:
- Tu n’es qu’une petite fille. Tu as encore toute la vie devant toi. Il y a plusieurs choses que je peux te
donner, mais je ne peux pas t’introduire dans la sorcellerie. Les lois de notre famille ne me permettent pas
de le faire. Si tu étais au moins l’aînée, ou un garçon, cela aurait pu être possible. Mais, dans ta condition, je
ne peux pas t’ensorceler.
Je me mis à pleurnicher:
- Ensorcelle-moi, ensorcelle-moi! Touchée par cette mise en scène, la vieille céda en murmurant: « On ne
donne à un enfant que ce qu’il demande … ! ». Elle ajouta:
- Ce n’est pas la sorcellerie qui va te rendre heureuse! Mais va, demande à tes parents 50 francs, et
rapporte-les moi demain. Je te remettrai quelque chose, une puissance qui te sera d’une grande utilité. Tu
n’auras plus besoin de travailler pour gagner ta vie. Tous tes désirs seront exaucés. Tu n’auras plus besoin
de t’inquiéter pour te marier, car les hommes te courront après… »
Je ne comprenais rien de tout ce qu’elle me disait, mais je m’exécutai.
Le lendemain, je demandai 50 francs à ma mère. A cette époque, 50 francs étaient une somme énorme.
Mes parents consentirent à me la remettre, à condition que je leur dise ce que je comptais en faire. Il n’était
pas question que je leur dévoile mon secret, de peur qu’ils n’aillent détruire tous mes projets auprès de ma
grand-mère. Pour tout embrouiller, je feignis d’être malade et je me mis à pleurer.
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Chose étrange, à partir du moment où je fis semblant d’être malade, je devins réellement malade. Tout mon
corps fut agité d’une forte fièvre. Les voisins, accourus pour la circonstance, conseillèrent à mes parents
d’accepter la perte de 50 francs plutôt que celle de leur enfant. « Les jumeaux sont des êtres qui ont des
facultés étranges, dit l’un d’eux. Dès leur enfance, ils peuvent soumettre à leur volonté une personne qui les
aurait insultés, même intérieurement. Il suffit de leur donner un cadeau pour apaiser leur colère et remédier
à la situation… » Un autre voisin ajouta: « Je connais des jumeaux qui peuvent disparaître et réapparaître,
chaque fois que leurs parents les contredisent… » Convaincus par cette « bonne parole de la tradition » donnée
par les voisins, mes parents prirent peur et me donnèrent les 50 francs.
Je me rendis à mon rendez-vous non sans avoir fait semblant de jouer, pour tromper la vigilance. Une fois
chez ma grand-mère, je lui remis l’argent. En attendant mon arrivée, elle avait déjà préparé un poulet, dans
une marmite qui se trouvait encore sur le feu. Elle n’attendait que mon arrivée pour y introduire deux feuilles
de je ne sais quel arbre, plus les 50 francs que j’avais apportés. Lorsque le plat fut cuit, elle en extrait
l’argent et me le rendit. Je ne vis aucune trace des deux feuilles.
A la question de savoir ce qu’étaient devenues ces deux feuilles, elle me répondit que ce n’étaient pas des
feuilles, et qu’il y avait à présent une puissance en moi. Cette puissance était entrée en moi pendant qu’elle
préparait le plat.
- Qu’est-ce qu’une puissance et de quelle utilité me sera-t-elle?
Elle me fit le même discours que précédemment:
- N’importe qui pourra te donner tout ce que tu lui demanderas. Tu n’auras pas besoin de chercher à te
marier. Tu seras très célèbre… Tout cela se manifestera lorsque tu auras 12 ou 13 ans… »
Elle me demanda de manger tout le poulet, ce que je fis. Dès que le repas fut terminé, je fus possédée.
De retour à la maison, je remis l’argent à ma mère. Mon père lui dit alors: « Les voisins avaient raison, ce
n’était qu’un test qu’elle voulait nous faire passer… »
En fait, je n’étais pas vraiment ensorcelée. Je porte à votre connaissance qu’il y a une grande différence
entre la magie, le fétichisme et la sorcellerie. Si Dieu nous en donne l’occasion, nous reparlerons de la
magie et du fétichisme un peu plus tard. La sorcellerie proprement dite est le domaine le plus élevé de
l’occultisme. Je l’ai découvert lorsque j’eus atteint une position élevée dans la Rose-Croix. Bien qu’agissant
tous trois pour le compte de Satan, le magicien, le féticheur et le sorcier n’ont pas la même puissance. Un
sorcier est complètement dans l’occultisme. Si une personne est initiée par le moyen d’un aliment
quelconque, par exemple, cette personne doit directement le savoir.
Cet esprit de sorcellerie doit se manifester. Ainsi, un poulet se transforme automatiquement, dans la bouche
du nouvel initié, en un autre aliment. Cette sensation symbolise la transformation ou la possession de la
volonté par l’esprit de la sorcellerie. Il y a plusieurs branches dans la sorcellerie. Mais une fois l’esprit de la
sorcellerie entré dans une personne, celle-ci n’a plus la même vision du monde. Elle peut voir un animal à la
place d’un homme. C’est pour cette raison qu’un sorcier, lorsqu’il veut tuer quelqu’un, le fait sans pitié, même
si la victime est un membre de sa famille.
Un sorcier ne peut donc pratiquer la sorcellerie sans en être conscient. Tout sorcier sait qu’il détient ce
pouvoir. Et lorsqu’il rencontre un autre sorcier, tous deux se reconnaissent. Un vrai sorcier peut voir au
travers d’une personne comme au travers d’une bouteille d’eau transparente. C’est pourquoi les sorciers
peuvent se jouer de leurs victimes. Ils peuvent les attaquer en leur envoyant des maladies dans n’importe
quelle partie de leur corps.
Bien-aimés dans le Seigneur Jésus-Christ et chers lecteurs, seul le Saint-Esprit peut nous protéger des
attaques du diable faites par le moyen des sorciers. Si l’on n’a pas Christ, on est à la merci de tels esprits.
Comme tout autre esprit malin, l’esprit de la sorcellerie peut être chassé au nom de Jésus-Christ, si le
possédé confesse sa sorcellerie et la rejette de tout son coeur pour accepter Christ.
Contrairement à la sorcellerie, la magie nécessite beaucoup d’études pour atteindre la perfection, il en est de
même pour le fétichisme. Pour atteindre un niveau identique à celui de la sorcellerie, il faut faire de grands
pactes, des pactes de sang, et donc sacrifier des êtres humains.
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A la lumière de ce qui précède, vous comprenez que je n’étais pas vraiment ensorcelée, ni une sorcière. Si
cela avait été le cas, j’aurais pu voir bien des choses. Ce n’est que plusieurs années après, lors de mon
passage dans la Rose-Croix, que je compris ces choses. D’ailleurs, bien que je fis partie de la Rose Croix,
les sorciers venaient prendre mon sang dans mon corps sans que je puisse les en empêcher. Cela suppose
qu’ils avaient une puissance au-dessus de la mienne.
Premières constatations
Les vacances terminées, nous quittâmes le village. Je n’avais que huit ans, et rien d’anormal ne vint troubler
le cours de ma vie. J’eus vite oublié ma visite à ma grand-mère et toutes les cérémonies qui s’étaient
déroulées…
Trois années plus tard, je remarquai que ma vie n’était plus la même. Je m’imposais parmi mes camarades.
J’étais souvent la première de la classe. Tout le monde s’entendait parfaitement avec moi, même lorsque
j’imposais ma volonté. Personne ne pouvait me refuser ce que je souhaitais obtenir. Quant aux garçons, n’en
parlons même pas: ils me couraient après à la manière des mouches qui se jettent sur une viande en
putréfaction.
J’ai la conviction que le diable peut modifier la forme extérieure de notre corps, dans le bon comme dans le
mauvais sens. Ce n’est pas que j’étais laide, mais, sous l’influence des mauvais esprits, et la puberté
agissant, la forme de mon corps changea sensiblement dans le sens positif. Je devins jolie et coquette, pour
ne pas dire belle.
Déjà à cet âge, des prétendants se déclaraient pour moi. Il arrivait même que des personnes respectables
désirent que je devienne, sinon leur concubine, du moins leur petite amie. D’autres n’attendaient que mon
consentement pour divorcer de leurs épouses et se remarier avec moi. Au cours de cette période, l’une de
mes amies intimes me confia qu’un jeune homme s’était pendu pour avoir perdu tout espoir de se marier un
jour avec moi. Elle ajouta qu’un autre était sur le point de s’empoisonner si je tardais trop à lui donner une
réponse. Tout cela me laissa de marbre.
Mes parents pouvaient enregistrer une dizaine de prétendants par jour. Ces inconnus venaient trouver mes
parents à mon insu. Pour avoir simplement entendu parler de moi quelque part. Ils se présentaient avec des
cadeaux, à la grande surprise de la famille et des voisins. Certains allaient même jusqu’à m’offrir des
maisons et des voitures… Mon pauvre père leur disait: « Ma fille est encore trop jeune pour que je puisse
penser à la marier aussi tôt. » Ma mère n’en revenait pas. Elle avait pourtant des grandes filles en âge de se
marier. Elle devenait malade à force de voir tant de personnes s’acharner sur sa petite fille. Chaque jour il en
était de même, et la réputation de mon père en souffrait considérablement.
Il nous est avantageux d’être dans le Seigneur.
Aucun de ceux qui n’étaient pas des chrétiens véritables ne pouvait me résister. J’obtenais tout ce que je
voulais obtenir de lui, sans exception. Les esprits qui étaient en moi envoûtaient les gens et annihilaient ainsi
toute leur volonté et leur capacité de résistance.
Je me rappelle bien le cas d’un homme déjà âgé, comptable dans une grande société, qui finit en prison.
Voici comment: un jour que je revenais de la classe, tout de blanc vêtue, j’eus l’ingénieuse idée de lui rendre
visite. Lorsqu’il me vit, il me demanda courtoisement:
- Que me vaut l’honneur de votre visite, princesse?
- Je viens chercher un peu d’argent de poche.
- As-tu emmené quelque chose pour mettre l’argent, un sac par exemple?
- Oui.
Je vidai mon cartable de tout son contenu, et je le lui tendis. Envoûté par mes démons, l’homme, sans se
rendre compte de la gravité de son acte et de ses conséquences, remplit mon sac de billets de banque. Cet
argent ne lui appartenait même pas.
5
Quelques jours plus tard, je reçus une note de sa part, par l’intermédiaire d’un collègue. Il me disait qu’il était
en prison, et me demandait un peu d’argent pour corrompre les juges et être remis en liberté sous caution.
Ce comptable était père de famille.
Je lui fis dire par le messager: « Comment vous, qui avez des enfants de mon âge, n’avez-vous pas honte de
faire une chose pareille à une fille qui a le même âge que celui de l’un de vos enfants? Si jamais cela se
répète, j’en parlerai à mon père. » L’affaire se termina là. C’était plus qu’une escroquerie. J’avais causé le
malheur de cette famille. Que mon Dieu me pardonne!
Ce sont la plupart des parents qui sont responsables de la déchéance de leurs enfants, peut-être
inconsciemment. La Bible nous demande d’élever nos enfants en les instruisant selon le Seigneur. « Et vous,
pères, n’irritez pas vos enfants, mais élevez-les en les corrigeant et en les instruisant selon le Seigneur »
(Ephésiens 6:4). S’ils leur racontent des histoires de démons, ils ne se rendent pas compte de ce qu’ils sont
en train d’implanter dans le coeur de leurs enfants. « Châtie ton fils, car il y a encore de l’espérance, mais ne
désire point de le faire mourir » (Proverbes 19:18).
A partir du moment où j’avais remis l’argent à ma grand-mère et mangé son poulet, j’avais, sans le savoir,
signé un pacte avec Satan pour recevoir un pouvoir de domination. Deux esprits avaient alors été mis à ma
disposition. Au temps convenu, ces esprits attiraient à moi ceux qui n’étaient pas en Christ, et les obligeaient
à satisfaire tous mes caprices.
Le fait de mener une vie aussi facile est en contradiction avec la Parole de Dieu. Le travail fut un privilège
dans le jardin d’Eden, avant le péché. « l’Éternel Dieu prit l’homme, et le plaça dans le jardin d’Éden pour le
cultiver et pour le garder » (Genèse 2:15). Plus tard, le travail devint une corvée à laquelle tout homme du se
soumettre pour satisfaire ses besoins. « C’est à la sueur de ton visage que tu mangeras du pain… » (Genèse
3:19). « Que celui qui ne travaille pas ne mange pas non plus » (2 Thessaloniciens 3: 10).
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